Rassemblement en soutien à une famille de l’école J.prévert MERCREDI 16 mars 15h

Aide à une famille Soudanaise dont l’enfant, Mazin, 3 ans est scolarisé à l’école J. prévert, sans logement et sans papier. 


A l’initiative d’un collectif de soutien crée à l’école mercredi dernier, nous partirons, mercredi 16 mars, 14h45 de l’école maternelle J.Prévert pour rejoindre la mairie annexe à Clémenceau. Nous souhaitons faire pression sur l’instruction du dossier de logement qui aura lieu la semaine prochaine.
Le collectif comprend surtout des familles du quartier.
Nous avons besoin de faire nombre.
Évidemment, nos slogans s’orienteront aussi vers la situation de toutes les familles et les personnes sans papier et sans logement aujourd’hui.

Mélissa pour le collectif (qui n’a pas encore de nom)
MERCREDI 16 MARS 14h45 à l’école J. prévertou 15h00 à la mairie de Quartier Brequigny ,1 place de la communauté

Aux côtés des exilé.es du gymnase de la Poterie

Le samedi 15 janvier, 200 personnes se sont rassemblées à Rennes, esplanade Charles de Gaulle. Ce jour-là, le collectif inter-organisation de soutien aux personnes exilées a décidé d’ouvrir et de réquisitionner le gymnase de l’école de la Poterie, rue de Vern. Après plusieurs échanges avec la mairie de Rennes par téléphone et communiqués de presse interposés, les forces de l’ordre ont quitté les lieux. En effet, en fin d’après-midi, la mairie de Rennes a informé qu’elle ne demanderait une évacuation du gymnase uniquement si des solutions d’hébergement sont proposées à ces familles et personnes à la rue, rappelant que cela incombait à la préfecture.

Aujourd’hui, des exilées à la rue continuent à s’installer avec le soutien des militant.es. L’occupation se poursuit.

CP-soutien-Poterie-V3

Campement des Gayeulles : Rassemblement devant la mairie lundi 18 octobre à 18 h

Après la tentative de réquisition de logements vides menée hier par le collectif Inter-orga de soutien aux personnes exilées, 4 familles seulement ont obtenu un logement d’urgence avec le 115. Il s’agit de solutions d’hébergement très précaires et surtout très insuffisantes: ce sont 24 familles (119 personnes dont 61 enfants) qui étaient présentes avec nous à Charles de Gaulle pour demander un hébergement.

Le collectif inter-organisation de soutien aux personnes exilées (dont SUD Education 35 et Solidaires 35 font partie) appelle à :

Rassemblement LUNDI 18 octobre

18h devant la mairie de Rennes

→ Pour dénoncer l’appel aux forces de l’ordre par la mairie de Rennes pour évacuer l’école du faux pont qui était inoccupée depuis mai dernier

→ Mise à l’abri immédiate de toutes les personnes et familles à la rue

→ Régularisation de toutes les personnes exilées

→ Un logement décent pour tou.te .s

Lire l’article France Bleue : https://www.francebleu.fr/infos/societe/rennes-des-militants-tentent-de-requisitionner-une-ecole-desaffectee-pour-les-familles-du-camp-des-1634408181?fbclid=IwAR1SbGSiOcKU6QYTz-h04SAde0C4vFuGQR0H1KbzhcYr1h4QfadcEKhL5AY

Et sur Ouest France : https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-une-ancienne-ecole-occupee-pour-loger-les-personnes-exilees-f838f3e8-2e8f-11ec-b483-98263717580c

https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/a-rennes-une-manifestation-en-soutien-aux-personnes-exilees-2fe42a32-2e8c-11ec-951e-9408c65002e6

Un rassemblement devant la mairie est prévu lundi 18 octobre à 18 h

Soutien au campement des Gayeulles samedi 16 octobre 15h – Appel Intersyndical

Les organisations syndicales du secteur de l’éducation ainsi que les unions départementales , la FCPE 35 et RESF 35 appellent à manifester avec le collectif inter-organisations de soutien aux personnes exilées pour dénoncer l’indifférence des autorités face à la situation dramatique dansla quelle se trouvent les exilé.es du campement des Gayeulles. Voir le tract en PJ.

Rassemblement samedi 16 octobre

à 15h esplanade Charles de Gaulle

Près de 100 personnes dont 42 enfants scolarisés dans nos établissements (à Rennes et au Rheu) sont sans logement et ont dû affronter la tempête du 2 octobre sans mise à l’abri par la préfecture. Si un camping de touristes avait été menacé, des gymnases et hôtels auraient été réquisitionnés, mais malheureusement iels sont « exilé.es » et sans argent … Ce sont les Eclaireurs de France qui leur ont ouvert leurs portes !

Alors que l’automne est déjà bien installé, aucune solution d’hébergement n’est proposée. C’est un vrai scandale !

Faites circuler l’info et venez nombreuses et nombreux pour les soutenir.

Rassemblement de soutien aux amendé.es : nouvelle audience lundi 10 mai 13h30

Le collectif inter-organisations et le collectif des amendé.es du 30 mai appellent à un nouveau rassemblement de soutien

lundi 10 mai à 13h30 devant la cité judiciaire à Rennes

3 personnes sont convoquées.

Vous trouverez en pièce jointe le communiqué de presse appelant au soutien des manifestant.es amendé.es lors de l’action du 30 mai 2020 pour la régularisation de tous les sans-papiers, la fermetures des CRA et des logements pour toutes et tous.

La CGT, CNT et Solidaires interviendront pour défendre le droit de manifester et dénoncer la répression des actions de l’inter-orga, et des mouvements sociaux en général.

Vous pouvez aussi apporter votre soutien financier pour les frais de dossiers et d’avocat en participant à la cagnotte:https://www.papayoux-solidarite.com/fr/collecte/soutien-aux-militant-e-s-du-35-de-la-cause-des-personnes-exilees

Fichage et traque des Mineur.es Non Accompagné.es; ça commence dans les Alpes Maritimes !

Le 12 janvier dernier, SUD Éducation 35 appelait, avec les syndicats des secteurs de l’action sociale, de la santé et des collectivités territoriales , à un rassemblement devant le conseil départemental d’Ille-et-Vilaine pour dénoncer la mise en place d’un fichier biométrique des Mineur.es Non Accompagné.es et de la signature d’une convention conseil départemental/préfecture qui risquait de transformer les personnels de l’ASE en auxiliaires de la Police Aux Frontières.

Ce que nous craignions a déjà commencé dans le département des Alpes maritimes !

ainsi qu’un lien vers un article de journal:
https://www.20minutes.fr/societe/3025307-20210420-nice-jeunes-etrangers-arretes-sortant-bureaux-aide-enfance

Jeunes majeurs étrangers, sortir de l’impasse

L’actualité a mis au grand jour la situation de jeunes étrangers présents depuis des années en France, arrivés soit mineurs isolés, soit avec leur famille, en cours d’études, d’apprentissage, accédant à l’emploi souvent dans des secteurs en pénurie de main-d’œuvre et soudain victimes de refus de séjour avec obligation de quitter le territoire (OQTF) dès lors qu’ils arrivent à leur majorité.

Nous nous réjouissons évidemment que plusieurs de ces jeunes aient trouvé une solution heureuse avec l’obtention d’un titre de séjour grâce à la solidarité que leur situation a suscitée.

Au-delà de ces cas emblématiques, les jeunes en détresse sont nombreux. Depuis des années, associations, enseignants, éducateurs, chefs d’entreprise, maîtres d’apprentissage, élus sonnent l’alarme et ne sont pas entendus. Nous sommes quotidiennement témoins d’un terrible gâchis humain et social : voir des jeunes être menacés d’expulsion, réduits à vivre dans la peur, l’errance et la clandestinité, alors que la France est devenue leur pays, celui de leurs liens, de leurs amitiés, de leurs amours, et qu’ils sont prêts à rendre à la société ce qu’elle a investi dans leur formation.

Pourtant, dès aujourd’hui, il y a des possibilités d’amélioration réelle et immédiate pour au moins réduire l’arbitraire des préfectures :

– il faut faire cesser la suspicion généralisée qui pèse sur de nombreux jeunes dont les actes d’état-civil sont régulièrement contestés, alors que leur identité a été confirmée par un juge ou par les services consulaires de leurs pays ;

– il faut cesser d’exiger des documents impossibles à présenter pour obtenir un titre de séjour (comme des passeports guinéens, par exemple), à plus forte raison lorsque la réglementation prévoit que leur présentation n’est pas obligatoire ;

– il faut en finir avec le blocage absurde des demandes de rendez-vous en préfecture, qui, sous prétexte de dématérialisation, revient à fermer des voies de régularisation. Ainsi, des jeunes, que la loi oblige à demander un titre de séjour avant 19 ans, sont mis dans l’impossibilité de le faire ;

– il faut que ces jeunes puissent avoir accès à des formations ou contrats d’apprentissage, en fonction de leurs niveaux de compétences, qu’ils puissent poursuivre les parcours engagés, et plus largement poursuivre la vie qu’ils ont entamée en obtenant aisément un titre de séjour protecteur et stable ;

– il faut régulariser de façon large et durable les personnes étrangères présentes depuis plusieurs années sur notre territoire notamment en appliquant la circulaire du 28 novembre 2012 plutôt que de mettre fin à celle-ci sans le dire et de restreindre l’accès aux droits et ainsi multiplier les situations dramatiques.

Ce sont là des mesures de bon sens, qui seraient la preuve que le message de ces jeunes, de leurs éducateurs et enseignants, de leurs employeurs, de leurs formateurs, a été entendu. Mais elles ne nous dispensent pas de réfléchir ensemble à la mise en œuvre de politiques d’accueil et de respect des droits fondées sur l’ouverture des frontières et des cœurs et non plus sur la peur et la fermeture.

Signataires :

Accompagnement et défense des jeunes isolés étrangers (Adjie), Ados sans frontières (ASF), Association pour la défense des mineurs isolés étrangers (Admie), Association française des juristes démocrates (AFJD), Association Internationale de Techniciens, Experts et chercheurs (Aitec), Association pour les migrants (Ami), Association nationale villes et territoires accueillants (Anvita), Association-Solidarite-Amitie-Francais-Immigres (Asafi), Association de solidarité avec les mineurs isolés étrangers (Asmie), Avocats pour la défense des droits des étrangers (ADDE), Cedetim/Ipam, Céméa, Centre de Recherche et d’Information pour le Développement (Crid), Chrétiens dans l’enseignement public (CDEP), La Cimade, Confédération générale du travail (CGT), Comede (Comité pour la santé des exilés), Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT), DEI-France, Emmaüs France, Etats généraux des migrations (EGM), Fédération des associations générales étudiantes (Fage), Fédération des associations de soutien aux travailleurs immigrés (Fasti), Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE), Fédération éducation recherche culture de la CGT (FERC CGT), Fédération générale des pupilles de l’enseignement public (PEP), Fédération indépendante et démocratique des lycéens (Fidl), Fédération nationale de la Libre Pensée, Fédération Sud Education, Fédération syndicale unitaire (FSU), Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR), Fondation Frantz Fanon, Générations Solidaires, Groupe accueil et solidarité (Gas), Groupe d’Information et de Soutien des Immigrés (Gisti), Jeunesse ouvrière chrétienne (Joc), Ligue des droits de l’Homme (LDH), Ligue de l’enseignement, Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Patrons solidaires, Pilotes volontaires, Planning familial, La Rencontre des justices, Réseau Chrétien – Immigrés, Réseau éducation sans frontières (RESF), La Roya citoyenne, SNPES-PJJ/FSU, Sgen-CFDT, Solidarité Laïque, SOS Racisme, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat de la magistrature (SM), Tous migrants, Union des métiers et des industries de l’hôtellerie du Finistère (UMIH 29), Union nationale des étudiants de France (Unef), Union nationale lycéenne (UNL), Union syndicale Solidaires, Union des Tunisiens pour l’action citoyenne (Utac), Unsa, Unsa Education, Utopia 56, Zembra Echo.

Paris, le 8 février 2021

Manifestation pour la régularisation des Sans-Papiers Ven. 18/12 à 18h

A l’occasion de la journée internationale des migrant.e.s, Sud Éducation et Solidaires 35 appelle à participer à l’Acte 4 des Sans-papiers.

Manifestation Vendredi 18 décembre à 18h Place de la République

avec le collectif des marcheurs et marcheuses Sans-papiers et le collectif Inter-Organisations de soutien aux personnes exilées.

Depuis le 30 mai dernier, les Sans-papiers et leurs soutiens se mobilisent pour réclamer la régularisation de tous les sans-papiers, la fermeture des CRA et des logements pour toutes et tous.

En septembre-octobre, ils ont été des centaines à marcher des 4 coins de la France vers Élysée, mais Macron a refusé de les recevoir alors qu’ils et elles ont été et sont encore très souvent en premier ligne dans la crise sanitaire par les métiers qu’ils et elles exercent.

Ce vendredi, soyons nombreuses et nombreux à leur côté pour une manifestation aux flambeaux au départ de République.

Manifestons samedi 30 mai pour la régularisation des Sans Papiers

Le collectif InterOrga de soutien aux personnes sans papiers organise une manifestation samedi 30 mai à 14h30 à Rennes en reprenant l’appel de la Marche des Solidarités.

Il y a 3 revendications :

  • La régularisation immédiate et pérenne de tous les Sans Papiers
  • La fermeture des Centres de Rétention Administrative
  • Des logements pour tous et toutes

Pourquoi organiser une manifestation maintenant, sous état d’urgence sanitaire ?

Avec la crise sanitaire, les Centres de rétention Administrative sont devenues (comme les prisons) de véritables « bombes sanitaires » avec une promiscuité importante et une hygiène négligée par les autorités.
De très nombreux pays ont fermé leurs frontières, les expulsions sont devenues quasi impossibles: il faut aller jusqu’au bout et régulariser toutes les personnes sans papiers immédiatement et de manière pérenne (Portugal et Italie l’ont fait mais avec des séjours temporaires)

Avant, pendant et après la manifestation, le Collectif IO demande de diffuser l’affiche (en PJ), l’appel et l’événement facebook sur tous nos réseaux sociaux:

https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/blog/280420/foyers-cra-sans-papiers-des-mesures-immediates-contre-la-bombe-sanitaire

https://www.facebook.com/events/243717846908958/

+ pétition:

https://www.change.org/p/emmanuel-macron-foyers-centres-de-r%C3%A9tention-sans-papiers-des-mesures-imm%C3%A9diates-contre-la-bombe-sanita?utm_source=share_petition&utm_medium=custom_url&recruited_by_id=f9dc0450-8621-11ea-95ca-f3c244f4e1ee

Étant donné que nous sommes sous état d’urgence sanitaire, les distanciations sociales devront être respectées groupes de 10 personnes max.), le port du masque est fortement recommandé et il n’y aura pas 1 mais 9 points de départs pour suivre ensuite un parcours de manif classique.