Les annonces budgétaires pour 2025 sont inacceptables : suppressions de 4000 postes dans l’Education nationale, baisse de l’indemnisation des arrêts maladie, passage d’un jour à trois jours de carence en cas d’arrêt maladie, baisse du Fond vert qui devait permettre de rénover le bâti scolaire…
Face à ces attaques, l’ensemble des organisations syndicales appellent à construire une riposte massive dans toute la Fonction publique et dans l’Education nationale et les universités. La grève du 5 décembre doit être massive et doit être le point de départ d’une mobilisation d’ampleur capable d’arracher des victoires pour améliorer la vie de tou·tes !
Manifestation jeudi 5 décembre à 11h place Charles de Gaulle
L’extrême droite cumule près de 40% des suffrages aux élections européennes. La situation est grave car demain nous pourrions être gouverné par l’extrême droite.
Le gouvernement a une lourde responsabilité dans la montée de l’extrême droite : en menant une politique antisociale et raciste.
Dans l’Éducation nationale, le Choc des savoirs et l’uniforme, l’interdiction du port de l’abaya constituent des mesures tout droit issues du programme de l’extrême droite.
Nous sommes à présent au pied du mur, face à la menace de l’arrivée au pouvoir du FN/RN avec le risque de ministres d’extrême droite, y compris à l’Éducation nationale et dans l’Enseignement supérieur et la Recherche. Les conséquences seraient catastrophiques.
À l’Assemblée nationale, le FN/RN s’est opposé à l’augmentation du Smic, c’est-à-dire aux augmentations de salaire pour les personnels AED et AESH. Dans son programme, l’école n’est qu’un prétexte pour taper sur l’immigration et imposer une idéologie nationaliste, raciste, lgbtiphobe et sexiste. L’école doit préparer la société démocratique de demain, avec le FN/RN au pouvoir, on peut craindre la pire des politiques pour l’éducation.
=> SUD éducation appelle les personnels à se réunir sur leurs lieux de travail, avec leurs collègues et à se mobiliser partout sur le territoire contre l’extrême droite. =>SUD éducation 35 appelle à battre l’extrême droite et ne pas redonner une majorité à Emmanuel Macron. => Nous appelons à renforcer et rejoindre tous les cadres collectifs pour se mobiliser ces prochains jours : AG d’établissements, AG de quartiers, caravanes dans les territoires ruraux, initiatives du Nouveau Front Populaire…
Manifestation: RDV 18H Place de la République à Rennes
Pourquoi le 17 mai ? Le 17 mai est une date symbolique pour les personnes LGBTQI+. En effet il a fallu attendre le 17 mai 1990 pour que l’homosexualité soit enfin retirée de la liste des maladies mentales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Lancée en 2005 et coordonnée au niveau international par le comité IDAHOT (International Day Against Homophobia and Transphobia), cette journée est aujourd’hui célébrée dans plus de 60 pays à travers le monde. Elle a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie, la transphobie, l’intersexophobie, etc.
En 2024, les droits des personnes LGBTQIA+ ne sont toujours pas pleinement appliqués et sont toujours plus menacés. Dans l’Éducation nationale, personnels et élèves subissent de nombreuses discriminations anti-LGBTQIA+ et peinent à faire reconnaître leurs droits par l’institution. Si le ministère n’a jamais fait de la lutte contre les LGBTIphobies une priorité, l’extrême droite et des idées réactionnaires s’immiscent toujours plus dans les établissements scolaires.
Le 7 janvier 2023, Lucas, un collégien de 13 ans, met fin à ses jours. Avant son suicide, il y a eu celui de Doona (étudiante trans à Montpellier, septembre 2020), d’Avril (lycéenne trans à Lille, décembre 2020) ou encore de Dinah (lycéenne lesbienne et personne racisée à Mulhouse, octobre 2021), et d’autres.
Ces suicides rappellent à chaque fois l’absence de moyens humains et financiers pour lutter réellement contre les LGBTIphobies.
Les jeunes victimes d’homophobie et de transphobie sont 2 à 7 fois plus touché·es par le suicide que les autres jeunes. Face à ces drames, le gouvernement réagit peu, voire passe les causes sous silence. Si bien qu’en décembre 2023, Mediapart a révélé que l’enquête administrative ouverte suite au décès de Lucas avait été totalement bâclée. Le principal du collège, qui minimise les faits de harcèlement, n’a, par exemple, jamais été auditionné. Ce même gouvernement a cherché à enterrer le rapport d’inspection sur l’établissement privé catholique Stanislas, qui met en lumière l’homophobie latente dans cet établissement, rapporte des propos sexistes et LGBTIphobes ainsi que la promotion des thérapies de conversion. Ces exemples témoignent du manque de volonté politique du gouvernement à agir concrètement contre les LGBTQIA+phobies.
Plus largement, nous réclamons :
Le respect du prénom et des pronoms d’usage partout, dans les entreprises comme dans les administrations.
La possibilité de changement d’état civil libre et gratuit par simple déclaration devant un officier d’état civil en mairie, sans intervention des pouvoirs médicaux et judiciaires.
Une transition dépsychiatrisée, libre et gratuite.
Le remboursement à 100 % des frais médicaux de transition sans condition, y compris à l’étranger lorsqu’elles ne peuvent pas être réalisées en France.
L’accès à la PMA pour toutes les personnes trans.
La fin des mutilations, stérilisations, traitements hormonaux non consentis sur des personnes intersexes quel que soit leur âge.
Des moyens massifs pour les services publics afin d’assurer l’accès réel à l’IVG, aux transitions et à la contraception.
Une réelle formation des travailleurs·es de l’éducation, de la santé et des collectivités territoriales à l’accueil des personnes trans.
Des financements à la hauteur des besoins des associations trans et un respect des libertés associatives de plus en plus souvent attaquées.
Le droit d’asile automatique pour toutes les personnes LGBTQI+.
Comme l’an dernier, et conformément à la volonté de nos syndicats, nous appelons à deux mobilisations sur Rennes : avec l’intersyndicale au quartier Cleunay mais aussi en centre-ville avec des organisations écologistes.
Récapitulatif des lieux de rendez-vous :
Rennes :
10h30 rue Jules Valès / quartier Cleunay
12h30 banquet Mail François Mitterrand (avec le Réseau de Ravitaillement des luttes)
14h : manifestation départ Mail Mitterrand (avec Alternatiba et Soulèvements de la Terre)
Le 8 mars n’est pas la « journée de la femme » ni la « fête des femmes », c’est une journée de lutte pour le droit des femmes !
SUD éducation 35 appelle les personnels de l’éducation et des universités à se mettre en grève et à manifester le 8 mars prochain.
Manifestations : Rennes : 15h esplanade Charles de Gaulle ***village féministe dès 13h*** Redon : 10h devant la mairie Saint-Malo : 17h esplanade Simone Veil Fougères : 18h pl. des Chaussonières
En 2024, l’égalité et les droits des femmes sont loin d’être effectifs ; ils sont même de plus en plus menacés.
Des menaces toujours plus importantes
Les nouvelles révélations de violences sexuelles et la défense des agresseurs par une partie du monde médiatique et politique (à commencer par le président de la république) montrent la nécessité de se mobiliser auprès des victimes encore et toujours. De même, le refus de la France d’inscrire le consentement dans la définition européenne du viol et les annonces du président qui souhaite « un réarmement démographique », passant par un contrôle des corps et des utérus à des fins natalistes, montrent que les droits des femmes et des minorités de genre sont perpétuellement remis en question. Il reste encore beaucoup à gagner face au patriarcat.
Le congé menstruel : un droit à conquérir !
Avec un taux de féminisation de plus de 70 %, il est grand temps pour le ministère de l’Éducation Nationale, mais aussi pour l’Enseignement Supérieur, de prendre des mesures concrètes. L’invisibilisation au travail des douleurs menstruelles et de l’endométriose conduit à la normalisation des douleurs, à nous rendre silencieuses face à la douleur et à perpétuer le tabou des règles. Les douleurs menstruelles sont minimisées, invisibilisées ou considérées comme normales. Pourtant, elles pèsent sur la rémunération des personnes menstruées qui subissent le jour de carence lorsque la douleur les empêche d’aller travailler.
SUD éducation revendique le droit à prendre un congé menstruel sous la forme d’ASA , sans jour de carence, sans justificatif à fournir à l’administration, la reconnaissance de l’endométriose comme affection longue durée , la mise à disposition d’une salle de détente et des pauses adaptées aux besoins des personnes qui ont leurs règles, la mise à disposition de protections périodiques dans tous les établissements, un recrutement massif de médecins du travail, formé·es en santé au travail ; le bénéfice de la visite médicale annuelle pour l’ensemble des personnels.
Mais attention, aux potentielles discriminations : le congé menstruel ne doit pas devenir, par un effet pervers, un frein à la carrière des femmes. Levons le tabou des règles pour améliorer les conditions de travail de tou·tes !
Nous étions plus de 2000 dans la rue le 14 janvier, plus de 4000 le 21 janvier ; la loi ne sera probablement pas retirée dans son intégralité après la décision de ce soir.
La lutte continue !
Un concert de solidarité a lieu samedi 27 janvier à partir de 18h30 au 4bis est aussi prévu avec une table sur la loi immigration et une sur l’ICE.
Par ailleurs cette initiative citoyenne européenne pour « un accueil digne des migrant-e-s » peut être signée ici : https://dignity-in-europe.com/
Une manifestation contre le racisme, le colonialisme et les frontières (dont le mot d’ordre exact reste à construire) est prévue le 3 février à 14h30 et qui réunira la lutte contre la loi immigration et celle pour la paix en Palestine.
Il y aura aussi le même jour, une commémor‘action à 17h place Sainte-Anne pour les mort-e-s en Méditerranée et aux frontières organisée par Alarm Phone et le CSPSP.
Nous relayons un appel national à manifester le dimanche 14 janvier contre la loi immigration (puis une nouvelle date le 21 janvier). A Rennes, ce sera à 15h à République.
Suite au stage antifa de jeudi dernier au local, nous accueillons des nouveaux ouvrages pour lutter contre l’extrême droite ! Emprunts gratuits dans notre bibliothèque syndicale au 5 rue de Lorraine (Rennes).
Appel à la marche unitaire du 23 septembre » Pour la fin du racisme systémique, des violences policières, pour la justice sociale et les libertés publiques »
Le 5 juin 2013, Clément Méric a été battu à mort et assassiné par des militants d’extrême droite.
10 ans après, l’extrême droite est toujours notre ennemie mortelle.
SUD Éducation 35 appelle à rejoindre l’hommage à Clément Méric et à toutes les victimes d’extrême droite avec Solidaires Étudiant.es et Solidaires 35.
Manifestation lundi 5 juin à 18h esplanade Charles de Gaulle
Conférence jeudi 9 juin à 19h Université Rennes 2
On n’oublie pas ! On n’pardonne pas !
Qui était Clément Méric ?
Clément Méric était un étudiant originaire de Brest parti faire ses études en Sciences Politiques à Paris. Étudiant engagé, syndicaliste et antifasciste, il militait à Solidaires Etudiant.es et à l’Action AntiFasciste Paris-Banlieue.
Ce week-end il est prévu une mobilisation contre la venue du rappeur d’extrême droite Millesime K à Rennes. Le lieu du concert n’a pas encore été révélé et le collectif Rennes VS Darmanin demande l’annulation de ce concert.
Signez la pétition contre la venue de Millesime K :
SUD Education 35 appelle à participer au rassemblement antifasciste ce samedi 27 mai à 16h esplanade Charles de Gaulle avec le collectif « Rennes vs Darmanin ». Voir l’appel ci-dessous :
Le 1er mai dernier, 2,3 millions de jeunes, de salarié·es et de retraité·es ont défilé partout en France, faisant de ce 1er mai 2023 un des plus importants de notre histoire sociale. Cette 13ème journée unitaire contre la réforme des retraites démontre la détermination des travailleurs et travailleuses à faire échec à cette réforme des retraites. Depuis plus de 3 mois, des records sont battus tant par le nombre de manifestant·es que par le nombre de grévistes dans le public comme dans le privé.
SUD éducation 35 appelle l’ensemble des personnels de l’Education nationale et de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche à participer à toutes les mobilisations contre la réforme des retraites et à se mettre massivement en grève les mardi 23 mai et 6 juin prochains.
Alors que le gouvernement entend passer en force sur la réforme des retraites, le ministère de l’Education nationale a annoncé une « revalorisation salariale » qui a mis le feu aux poudres ! Il laisse de côté les personnels les plus précaires : AESH, AED, SAENES mais aussi les personnles médico-sociaux et agent·es dont les salaires sont pourtant très insuffisants.
La partie « Socle » de la revalorisation est trop faible pour pallier les effets de l’inflation. La partie « Pacte » va aggraver les inégalités et dégrader les conditions de travail.
SUD éducation appelle l’ensemble des personnels à refuser le Pacte.
MARDI 23 MAI : MANIFESTATION à Rennes à 11 h, départ Place de Bretagne
Comment faire grève ? Il n’y a pas besoin de prévenir l’administration de votre intention de faire grève. Seule exception : si l’on est chargé·e de classe dans le premier degré. 1er degré : On doit alors faire parvenir à l’inspection une déclaration 48 heures à l’avance, dont au moins un jour ouvré (Pour une grève le mardi la déclaration devra se faire au plus tard le samedi soir à minuit. Pour une grève le jeudi la déclaration devra se faire au plus tard le lundi soir à minuit.). On peut changer d’avis et décider de ne pas faire grève à tout moment, même le matin de la grève.
=> Notre conseil : déposer un préavis de grève permanent sur toute la période, ce sera à vous de décider au jour le jour si vous faites grève ou non.
Répression policière : bien connaître ses droits pendant les mobilisations : Face à la recrudescence des violences policières dans l’ensemble du pays, nous vous conseillons de bien relire notre Guide des manifestant-e-s Solidaires. Télécharger le PDF Pour plus d’infos, lire également : Le « Guide du manifestant arrêté » mis à jour (août 2019) Contact avocat LDH 35 : Olivier Pacheu – 02.99.79.50.61
Caisse de grève : comment y avoir droit ? Sud Education 35 a mis en place une caisse de grève pour tous les adhérents qui auront besoin d’être soutenus financièrement pour leur grève. Sud Education 35 dédommage tous les agents sur la base du salaire des AED (environ 45 euros) + majoration aux parents isolés sur la base du pourcentage de son salaire. Pour se faire dédommager : envoyer votre fiche de paie avec le retrait sur salaire ainsi que votre RIB à l’adresse syndicat@sudeducation35.fr, avec pour objet : [Trésorier] Dédommagement caisse de grève
Note : Face au nombre important de demandes, les précaires (AED, AESH, contractuel.les) seront dédommagé.es en priorité et peu importe le nombre de jours de grève. Les enseignant.es titulaires adhérent.es seront dédommagé.es à partir du 5e jour de grève sur l’ensemble du mouvement contre les retraites.
Pour participer aux caisses de grève : – On vous encourage à créer une caisse de grève propre à votre établissement, que vous pourrez redistribuer directement aux grévistes de votre établissement.
– Sud Educ 35 a une caisse de grève physique, vous pouvez nous remettre vos participations au local pendant nos permanences (le mercredi et jeudi) ou en manif.
– Vous et vos proches pouvez participer à la caisse Solidaires 35 en ligne pour soutenir les grévistes pendant la lutte contre la réforme des retraites.
Nos conseils pour mobiliser vos collègues : – Afficher une feuille d’inscription dans la salle des maîtres pour voir qui est prêt à faire grève. – Vous pouvez prévoir des HMI et AG dans vos établissements. Nos déchargés peuvent venir en soutien pour expliquer la réforme des retraites lors de vos RIS, AG et HMI. N’hésitez pas à nous contacter.
La Marche des Fiertés LGBTI+ (lesbienne, gay, bi, transgenre et intersexe) de Rennes (anciennement connue sous le terme « lesbian and gay pride ») constitue un évènement populaire marquant de la capitale bretonne. Événement engagé et citoyen, militant et festif, la Marche des Fiertés LGBTI+ de Rennes est un levier pour faire avancer une société du respect et faire reculer les discriminations touchant les personnes LGBTI+ et leurs proches.
Jour de liberté permettant à chacun·e d’être présent·e sur l’espace public quelle que soit son orientation sexuelle, son identité de genre ou son sexe, la Marche des Fiertés de Rennes permet d’interpeller tout·e citoyen·ne sur le vivre ensemble et le respect des diversités.
Dans l’Éducation nationale comme ailleurs, mobilisons-nous !
Le collectif organisateur de la Marche des Fiertés LGBTI+ de Rennes, coordonné par Iskis, le centre LGBTI+ de Rennes, vous donne rendez-vous le 17 juin prochain dans les rues de la capitale bretonne !
Dans la continuité des mobilisations contre la réforme des retraites, l’intersyndicale interprofessionnelle appelle à la grève RECONDUCTIBLE et à de prochaines mobilisations :
JEUDI 13 AVRIL : ACTIONS ET MANIFESTATIONS
Lieux des manifestations en Ille-et-Vilaine :
– Combourg :18h parvis du lycée – Fougères : 17h30 place des Chaussonnières – Guichen : 17h place de la mairie – Monfort-sur-meu : 18h place de la gare – Redon: 17h place Charles de Gaulle – Rennes : 11h place de Bretagne – Saint-Malo: 11h Médiathèque – Vitré : 17h sous-préfecture
AG Éducation à 9h30 aux Ombres électriques (10 rue des Trente)
Comment faire grève ? Il n’y a pas besoin de prévenir l’administration de votre intention de faire grève. Seule exception : si l’on est chargé·e de classe dans le premier degré. 1er degré : On doit alors faire parvenir à l’inspection une déclaration 48 heures à l’avance, dont au moins un jour ouvré (Pour une grève le mardi la déclaration devra se faire au plus tard le samedi soir à minuit. Pour une grève le jeudi la déclaration devra se faire au plus tard le lundi soir à minuit.). On peut changer d’avis et décider de ne pas faire grève à tout moment, même le matin de la grève.
=> Notre conseil : déposer un préavis de grève permanent sur toute la période, ce sera à vous de décider au jour le jour si vous faites grève ou non.
Répression policière : bien connaître ses droits pendant les mobilisations : Face à la recrudescence des violences policières dans l’ensemble du pays, nous vous conseillons de bien relire notre Guide des manifestant-e-s Solidaires. Télécharger le PDF Pour plus d’infos, lire également : Le « Guide du manifestant arrêté » mis à jour (août 2019) Contact avocat LDH 35 : Olivier Pacheu – 02.99.79.50.61
Caisse de grève : comment y avoir droit ? Sud Education 35 a mis en place une caisse de grève pour tous les adhérents qui auront besoin d’être soutenus financièrement pour leur grève. Sud Education 35 dédommage tous les agents sur la base du salaire des AED (environ 45 euros) + majoration aux parents isolés sur la base du pourcentage de son salaire. Pour se faire dédommager : envoyer votre fiche de paie avec le retrait sur salaire ainsi que votre RIB à l’adresse syndicat@sudeducation35.fr, avec pour objet : [Trésorier] Dédommagement caisse de grève
Note : Face au nombre important de demandes, les précaires (AED, AESH, contractuel.les) seront dédommagé.es en priorité et peu importe le nombre de jours de grève. Les enseignant.es titulaires adhérent.es seront dédommagé.es à partir du 5e jour de grève sur l’ensemble du mouvement contre les retraites.
Pour participer aux caisses de grève : – On vous encourage à créer une caisse de grève propre à votre établissement, que vous pourrez redistribuer directement aux grévistes de votre établissement.
– Sud Educ 35 a une caisse de grève physique, vous pouvez nous remettre vos participations au local pendant nos permanences (le mercredi et jeudi) ou en manif.
– Vous et vos proches pouvez participer à la caisse Solidaires 35 en ligne pour soutenir les grévistes pendant la lutte contre la réforme des retraites.
Nos conseils pour mobiliser vos collègues : – Afficher une feuille d’inscription dans la salle des maîtres pour voir qui est prêt à faire grève. – Vous pouvez prévoir des HMI et AG dans vos établissements. Nos déchargés peuvent venir en soutien pour expliquer la réforme des retraites lors de vos RIS, AG et HMI. N’hésitez pas à nous contacter.
Les attaques d’extrême-droite se poursuivent contre les camarades de Solidaires.
Vous trouverez ci-dessous un communiqué de Solidaires 56 : 4 camarades de SUD Éducation, SUD PTT et SUD Santé-sociaux du Morbihan attaqué.es à Lorient mardi 28 mars au soir.
Solidaires 35, la Confédération paysanne 35, le Comité Rennais des Soulèvements de la Terre, Alternatiba Rennes, Révolution Permanente Rennes et le Poing Levé Rennes appellent à un rassemblement en soutien aux victimes des violences policières, notamment suite à la répression brutale contre les méga-bassines à Sainte-Soline le week-end dernier.
Rassemblement jeudi 30 mars à 19h devant devant la Préfecturede Région, 3 Rue Martenot, Rennes
Dans la continuité des mobilisations contre la réforme des retraites, l’intersyndicale interprofessionnelle appelle à la grève RECONDUCTIBLE et à de prochaines mobilisations :
MARDI 4 AVRIL : MANIFESTATION 19H – REPUBLIQUE
JEUDI 6 AVRIL : ACTIONS ET MANIFESTATIONS
Lieux des manifestations en Ille-et-Vilaine :
– Combourg :18h parvis du lycée – Fougères : 17h30 place des Chaussonnières – Monfort-sur-meu : 18h place de la gare – Redon: 17h place Charles de Gaulle – Rennes : 11h place de Bretagne – Saint-Malo: 11h Grand Aquarium – Vitré : 17h sous-préfecture – Guichen : 17h place de la mairie NOUVEAU
AG Éducation à 15h (Agora populaire à la fin de la manifestation ou Ombres électriques – à confirmer)
– mercredi 5 avril : Village syndical, 11h30/14h30 à République – Piquets de grève des centres de collecte de déchets SUEZ à Pacé et Chartres de Bretagne : besoin de relais => contactez -nous à syndicat@sudeducation35.fr – jeudi 6 avril : actions de blocage multiples : rdv dès 6h30 => contactez -nous à syndicat@sudeducation35.fr
Comment faire grève ? Il n’y a pas besoin de prévenir l’administration de votre intention de faire grève. Seule exception : si l’on est chargé·e de classe dans le premier degré. 1er degré : On doit alors faire parvenir à l’inspection une déclaration 48 heures à l’avance, dont au moins un jour ouvré (Pour une grève le mardi la déclaration devra se faire au plus tard le samedi soir à minuit. Pour une grève le jeudi la déclaration devra se faire au plus tard le lundi soir à minuit.). On peut changer d’avis et décider de ne pas faire grève à tout moment, même le matin de la grève.
=> Notre conseil : déposer un préavis de grève permanent sur toute la période, ce sera à vous de décider au jour le jour si vous faites grève ou non.
Répression policière : bien connaître ses droits pendant les mobilisations : Face à la recrudescence des violences policières dans l’ensemble du pays, nous vous conseillons de bien relire notre Guide des manifestant-e-s Solidaires. Télécharger le PDF Pour plus d’infos, lire également : Le « Guide du manifestant arrêté » mis à jour (août 2019) Contact avocat LDH 35 : Olivier Pacheu – 02.99.79.50.61
Caisse de grève : comment y avoir droit ? Sud Education 35 a mis en place une caisse de grève pour tous les adhérents qui auront besoin d’être soutenus financièrement pour leur grève. Sud Education 35 dédommage tous les agents sur la base du salaire des AED (environ 45 euros) + majoration aux parents isolés sur la base du pourcentage de son salaire. Pour se faire dédommager : envoyer votre fiche de paie avec le retrait sur salaire ainsi que votre RIB à l’adresse syndicat@sudeducation35.fr, avec pour objet : [Trésorier] Dédommagement caisse de grève
Note : Face au nombre important de demandes, les précaires (AED, AESH, contractuel.les) seront dédommagé.es en priorité et peu importe le nombre de jours de grève. Les enseignant.es titulaires adhérent.es seront dédommagé.es à partir du 5e jour de grève sur l’ensemble du mouvement contre les retraites.
Pour participer aux caisses de grève : – On vous encourage à créer une caisse de grève propre à votre établissement, que vous pourrez redistribuer directement aux grévistes de votre établissement.
– Sud Educ 35 a une caisse de grève physique, vous pouvez nous remettre vos participations au local pendant nos permanences (le mercredi et jeudi) ou en manif.
– Vous et vos proches pouvez participer à la caisse Solidaires 35 en ligne pour soutenir les grévistes pendant la lutte contre la réforme des retraites.
Nos conseils pour mobiliser vos collègues : – Afficher une feuille d’inscription dans la salle des maîtres pour voir qui est prêt à faire grève. – Vous pouvez prévoir des HMI et AG dans vos établissements. Nos déchargés peuvent venir en soutien pour expliquer la réforme des retraites lors de vos RIS, AG et HMI. N’hésitez pas à nous contacter.