Le 31 mars, il y a eu des dizaines de milliers de manifestants et de manifestantes, des centaines de rassemblements dans les villes, un grand nombre d’entreprises touchées par des arrêts de travail, des chiffres de grève significatifs dans plusieurs secteurs…
Notre mouvement qui regroupe des jeunes à l’école et à l’université, des chômeur-euses, des salarié-es, des retraité-es a pris de l’ampleur. Au delà des manifestations, ce sont des assemblées générales interprofessionnelles qui se sont te-nues dans de nombreuses villes, des débats à l’occasion des « nuits debout », des actions de blocage. Le gouvernement ne pourra compter ni sur les vacances, ni sur le mauvais temps pour limiter tout cela.