Depuis l’utilisation de l’article 49.3 par le gouvernement pour faire passer en force sa réforme, la répression a pris une ampleur nettement supérieur, que ce soit par les arrestations ou les violences policières.
À Rouen, à l’occasion de la manifestation du 23 mars, une collègue AESH a été la victime de cet accroissement de la violence. Dans le cadre de la manifestation, l’explosion d’une grenade de désencerclement lui a arraché le pouce ! Cet acte ignoble ne doit pas rester impuni ! La violence dans les manifestations doit cesser !
SUD éducation apporte tout son soutien à notre collègue, et appelle l’ensemble des personnels à durcir, amplifier et reconduire la grève, en signe de protestation et de solidarité avec notre collègue.